Idée 17 : Prendre en compte l’évolution des métiers et/ou des missions

Nouvelles règles, nouvelles lois, nouvelles missions.

Deux exemples récents et importants, qui nous concernent tous

– les FLS ont vu leur travail évoluer fortement sur le volet protection physique des centres

– les infirmières ont de nouvelles missions suite à l’évolution de la règlementation sur les Services de Prévention et de Santé au Travail

Ces évolutions doivent amener à se reposer les bonnes questions sur l’équilibre entre les attendus et la reconnaissance du travail (y compris la rémunération).

Idée 18 : Reconnaître les VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) et les certifications

Le CEA ne reconnait pas aujourd’hui les acquis de l’expérience, ni les certifications obtenues par les salariés

Pourtant, des salariés se forment, acquièrent des savoir-faire, développent leurs compétences et peuvent dans certains cas le faire reconnaître officiellement auprès d’organismes de certification

Cette reconnaissance doit également être prise en compte par le CEA pour la carrière du salarié !

Idée 19 : Favoriser et valoriser tous les échanges

Qu’il s’agisse de passer une semaine dans une start-up, de travailler sur un projet pour un autre département voire une autre direction opérationnelle, c’est par l’échange qu’on progresse.

Ouvrons collectivement des expériences de mobilité et de flexibilité :

– échange avec des start-up

– mobilité de projet

– discussions et séminaires multithématiques

– etc.

Idée 20 : Développer le mécénat de compétences

Le mécénat de compétences est un don en nature. Il s’agit pour une entreprise de mettre des collaborateurs à disposition d’un organisme d’intérêt général, qui vont mobiliser pendant un temps leurs compétences ou leur force de travail.

C’est un dispositif où tout le monde gagne

Pour le salarié : L’expérience du mécénat de compétences peut permettre de donner plus de sens à son investissement professionnel. Cela permet aussi de faire de nouvelles rencontres, de découvrir de nouvelles façons de travailler, de découvrir l’action de structures de l’économie sociale et solidaire, de s’engager en demeurant dans le cadre fixé par son entreprise – ce qui peut être un premier pas vers un engagement bénévole.

Pour l’entreprise : Le mécénat de compétences est un outil utile pour accroître l’impact social de l’entreprise, faire vivre les valeurs de l’entreprise et y renforcer la cohésion des collaborateurs. C’est une façon plus humaine de faire de la philanthropie tout en redonnant du sens à l’engagement des salariés dans la performance collective.

Pour l’organisme bénéficiaire : Le mécénat de compétences permet, d’abord, d’obtenir une aide bienvenue notamment sur des fonctions qui ne représentent pas leur cœur d’expertise et d’optimiser leur savoir-faire. Ensuite, de sensibiliser et de fédérer autour d’une cause commune tout en prenant du recul sur son projet. Et enfin, d’élargir son réseau en rencontrant de potentiels futurs bénévoles, des partenaires et des soutiens.

Il est déjà mis en place dans la fonction publique !

https://www.fonction-publique.gouv.fr/toutes-les-actualites/le-mecenat-de-competences-se-met-en-place-dans-la-fonction-publique